| | | Velcan Johany Peeters [Serpentard] |  |
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Velcan Peeters
Slytherin
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| Sujet: Re: Velcan Johany Peeters [Serpentard] ![Velcan Johany Peeters [Serpentard] Icon_minitime](https://2img.net/i/fa/icon_minitime.gif) Jeu 5 Fév - 17:32 | |
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Chapitre premier ; la famille. Qui y a-t’il de plus sacré que la famille ? D’après les Peeters seul l’argent à une place plus importante, l’argent régit le monde et des frères sont capables de s’entre-tuer pour de l’argent. C’est d’ailleurs la triste réalité des Peeters, deux frères nourris au même sein, ayant joué aux mêmes jeux et partageant les mêmes idéaux. L’origine de la famille Peeters prend sa source dans le sang d’un fratricide, d’une lutte pour la survie, d’une guerre de deux cœurs avides de richesses. Un seul des deux à survécu c’était il y a plusieurs centaines d’années à l’époque où la magie gardait encore tous ses mystères, au temps où le monde magique et le monde moldu vivaient en cohésion sans trop se poser de questions. L’un des frères avait développé des dons particuliers, des dons magiques et l’autre n’avait rien de tout cela, il était un garçon « normal » pour tous ceux qui l’entouraient, trop normal, trop banal, trop classique. Tous les regards se tournaient vers son frère, qu’il était beau, qu’il grandissait vite et surtout quels incroyables pouvoirs avait-il. Tous deux jumeaux, mais tellement différents, tous deux frères mais ennemis en même temps. À la mort des deux parents, il fallut choisir un frère pour hériter, un frère pour décider de la vie des autres membres de la famille. Une bataille s’engagea, inégale en tous points, Aidan ne possédant pas de pouvoirs sa victoire était impossible mais il lui sembla que la meilleure façon de tuer son frère fut en le poignardant dans le dos une froide nuit de Décembre alors qu’ils avaient convenus d’une paix. Aidan fut alors le seul héritier encore en vie et amassa tout l’argent que ses parents avaient gagné.
De nombreuses générations plus tard, les Peeters vivent de façon particulière, alors que les hommes et femmes du monde moldu, monde qu’ils habitent, semblent civilisés, alors que les moldus vivent avec ce qui ressemble à une paix, les Peeters se battent encore pour l’argent et le pouvoir, il n’y a jamais eu de famille plus désunies que celle des Peeters. Certains vivent dans l’excès alors que d’autres prennent peur de dilapider la fortune si importante de la famille mais de n’importe quel côté qu’ils soient les frères et sœurs se battent pour obtenir toujours plus d’argent, certains s’entretuent comme à l’époque des jumeaux créateurs de la famille, d’autres plus lâchent se cachent et change de nom pour ne jamais avoir plus rien à partager avec ces corbeaux.
Il ne reste plus désormais que quatre nés Peeters sur les dix qu’ils étaient, trois sont morts et trois autres ont disparus. Les quatre restant sont Declan, le plus vieux et sans doute le plus avide de fortune et le plus formé en ce qui concerne les meurtres parfaitement déguisés en accident ou suicide, il y a également Janice, sa survie est encore incompréhensible elle qui aurait du mourir en premier semble ne pas vouloir rendre l’âme si facilement, puis il y a Carter, celui dont on n’entend jamais parler et qui agit dans l’ombre, c’est à lui qu’on doit deux des trois disparus et finalement il y a Bevin, la petite dernière mais pas la plus innocente, par trois fois elle a tenté de tuer Declan, la quatrième sera peut être la bonne … Chapitre deuxième ; l’enfance. C’est un matin enneigé de Décembre qu’est né Velcan, fille unique de Declan Peeters et son épouse Anna. Naître dans une famille telle que celle des Peeters n’est pas une chose anodine, les premiers jours aucunes visites, l’enfant sera toujours seul, il ne connaître pas ses oncles et tantes ni même ses cousins et cousines si tenté qu’il en ait. Sa seule famille sera ses parents et son cercle d’ami sera restreint de par la particularité de la famille mais entouré de l’amour inconditionnel de ses parents il pourra grandir et développer sa morale, sa conscience même si elle est un peu différente de celle des autres. La vie de cet enfant sera en constant danger, chacun de ses oncles et tantes souhaitant que seuls leurs enfants leur survivent, l’enfant sera plongé dans une guerre malgré lui et en deviendra bientôt un des partisans ou choisira la fuite, quoi qu’il en soit ses parents devront redoubler de vigilance s’ils veulent qu’elle vive. Durant les trois premières années de vie de Velcan, sont père lui sauva la vie quatre fois et il parvint à tuer un de ses frères lors de la troisième fois, durant les trois premières années de sa vie Velcan ne comprit pas bien ce qui se passait tout autour d’elle, elle ne comprit pas immédiatement pourquoi sa mère l’emmenait chez ses grands-parents maternels plusieurs fois par mois. Mais par la suite tout s’éclaira, elle n’était qu’une enfant mais bientôt elle se mit à jouer le jeu de ses parents, il fallait se cacher souvent pour échapper aux armes de ses oncles et tantes, il fallait dire tout ce qu’on voyait dans la rue pour déceler la moindre incohérence, détecter la moindre attaque, il ne fallait pas trop parler avec les autres enfants pour ne pas attirer l’attention. Dans le même temps sont père refusa de cacher l’existence de sa fille plus longtemps, il était temps de reprendre la chasse, temps de tuer ceux qui résistaient encore à la fuite, ils arrêtèrent alors de déménager et Velcan vivait pleinement dans la demeure qu’avait construit son père à Londres.
Les jeux de Velcan étaient plutôt atypique, aucune poupée, seulement des soldats, des ours éventrés ou des armes réelles pour certaines, cadeaux de son père, autant dire qu’il valait mieux ne pas trop se faire remarquer pour ne pas attirer l’attention des forces de police britannique, mais à six ans alors que Bevin, sa tante voulait tuer son père mais qu’elle s’était trompée de chambre, Velcan disparut pour apparaître dans la chambre de ses parents alors endormis, de cette façon elle put donner l’alerte mais garda le secret sur cet « accident ». Cela dit depuis ce jour Bevin tente de tuer Velcan en priorité sachant qu’elle n’est pas comme eu mais qu’elle possède des pouvoirs tout comme le jumeau de Aidan en possédait, Bevin fut donc la première à apprendre que Velcan était une sorcière.
Plus les années avançaient et plus les guerres entre Peeters continuaient mais toujours dans la même discrétion en graissant la pate de certains policiers haut placés pouvant corroborer les histoires de disparition, de changement de nom ou de suicide. Parallèlement Velcan faisaient de nouvelles expériences étranges, comme arrêter la course d’une balle en levant les mains ou encore changer d’endroit en une fraction de seconde. Ce ne fut que l’été avant ses onze ans que tout s’éclaira, une lettre lui parvint d’une école inconnue semblant enseigner la magie … Quelle ne fut pas la réaction de Declan et Anna en apprenant cela, ils se posèrent des questions puis relisant les écrits de la famille ils comprirent que la magie coulait dans leurs veines contrairement à ce qu’avait pensé Aidan, il se pouvait donc que les enfants de ses frères et sœurs soient eux aussi des sorciers et pourraient donc faire peser la balance lors de futurs combats … La décision était prise Velcan irait à Hogwarts et y apprendrait l’art de la magie.
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| | | | Velcan Peeters
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| | Sujet: Re: Velcan Johany Peeters [Serpentard] Jeu 5 Fév - 18:27 | |
| Chapitre troisième ; la scolarité. L’enfance pas encore terminée voilà que Velcan se trouvait être une sorcière, que ce mot sonne faux dans la bouche d’un moldu, l’éternelle image de la sorcière au nez crochu obsédait la petite fille, allait-elle devenir ainsi ? Son joli visage allait-il s’enlaidir en arrivant à l’école ? Cette peur la suivit le temps qu’elle alla acheter ses fournitures pour sa première année, dans la lettre quelle avait reçue se trouvait un plan montrant un bar qui s’appelait le Chaudron Baveur permettant ainsi à la jeune fille de faire ses emplettes de pré-admission avec ses parents, dans la ruelle nombreux sorciers et sorcières se promenaient, aucun ne ressemblait à l’idée que s’en faisaient les moldus et ce rapide passage dans le monde magique rassura Velcan. En Septembre elle partie pour Hogwarts, tout semblait incroyable, l’accès au train, les discutions des passagers, les robes de sorciers qu’ils seraient bientôt obligés de porter et cette histoire de répartition dans des maisons, une sorte de ségrégation, un partage entre les élèves prometteurs et les autres, ceux qui ont un bon fond et les autres, pourquoi pas les petits gros d’un côté et les grands maigres de l’autres … Tout ce que Velcan trouvait de bon là-dedans c’était qu’il y avait forcément une maison plus puissante que les autres et qu’il fallait absolument qu’elle l’intègre afin d’être parmi les meilleurs mais aussi de façon à pouvoir écraser les plus faibles. Son entrée à Hogwarts fut féérique, des bateaux sur un lac reflétant les étoiles puis l’ouverture des grandes portes de chêne sur un monde totalement inconnu, les répartitions puis le dîner monumental, elle semblait être une des rares à ne pas connaître la magie et donc se retrouvait bouche-bée devant des sorts enfantins. Puis enfin la première nuit durant laquelle elle ne put dormir, elle voulait se promener dans ce château si grand qu’elle aurait pris plaisir à s’y perdre mais c’était interdit de se promener alors elle resta dans la salle commune lisant les affiches sur le panneau d’affichage puis elle lut quelques chapitres de ses livres près du feu qui venait à mourir lentement pour finalement entendre les premiers élèves sortir des dortoirs pour les premiers cours de la journée.
Chaque année se passa parfaitement bien, elle rentrait pour chaque vacance et aidait ses parents à préparer les cartes pour débusquer les Peeters restant et les faire fuir ou les tuer le cas échéant. Elle ne pouvait utiliser la magie en dehors de l’école les premières années mais pouvait confectionner des potions qu’elle avait apprises et s’en servir contre ses cousins qui visiblement ne montraient aucun signe d’un quelconque pouvoir.
Durant sa scolarité Velcan développa des relations plus ou moins amicales, tout d’abord rejetée par une partie de la population magique car étant une née-moldue, elle finie par se faire une place convoitée par certaines personnes, elle devint très douée en potions et donc indispensables à ceux qui voulaient faire des « farces » plus ou moins graves aux autres élèves. Elle développa également un goût pour la démesure tout comme ses parents, elle aimait l’alcool, la drogue, les garçons, les choses qui pouvaient lui faire du bien en général, la puissance de certains sortilèges … Velcan n’entre qu’en sixième année mais elle connait bien plus de choses sur la magie que certain septième année nés sorciers. Reste à savoir si c’est une bonne ou une mauvaise chose.
Chapitre quatrième ; l’excès. La démesure coulait déjà dans ses veines, l’envie de toute puissance, de richesse inépuisable, de reconnaissance, tout cela elle devait à son père et elle l’obtiendra grâce à la magie. Depuis son entrée à Hogwarts elle a développé une aptitude surprenante dans l’art des potions, elle est devenue reconnue pour ce don et il n’est pas rare qu’on demande son aide pour la confection de filtres ou de potions dans un but plus ou moins positif, nombreux sont les élèves devenus malades après avoir bu un verre de jus de citrouille, nombreuses sont les jeunes filles au physique désagréables ayant d’une seconde à l’autre déchainées les passions. Mais plus que cela, il est étonnant de voir que certains Peeters sont tombés gravement malades et morts de maladies inconnues par les médecins.
Velcan aime susciter le désir chez certains garçons de son âge ou plus vieux, elle aime les entendre chuchoter son nom au moment de l’orgasme, elle aime disparaître et ne plus laisser qu’une marque dans leurs draps une fois avoir obtenu ce qu’elle voulait. La jeune fille aime encore séduire ceux qui ont déjà goûté à sa chair mais aussi ceux qui donneraient tout pour ne faire que la caresser, l’embrasser ou même l’entendre prononcer leur nom. Mais elle ne craque que rarement, pas du genre à mettre du sentiment dans ce genre de choses, elle s’amuse et profite du jour présent sachant que nos vies ne tiennent qu’à un fil et que n’importe qui peut le couper lorsqu’il en a envie.
La demoiselle aime se laisser aller à d’autres plaisirs, le plaisir de l’alcool ou de la drogue, elle aime se sentir flotter après une injection, sentir que sa vie lui appartient un court instant, qu’elle peut en faire ce qu’elle veut, se sentir omniprésente, avoir l’impression de quitter son corps et de tout pouvoir survoler. Elle aime cette sensation de liberté qu’aucune magie ne peut apporter.
Avec tout cela on ne peut nier que Velcan aime faire souffrir, elle aime regarder dans les yeux celui qui agonise, voir dans son regard qu’il n’y a plus rien à faire et que bientôt il disparaitra, elle aime regarder l’âme quitter le corps du mourant, il est donc facile de comprendre pourquoi les détraqueurs sont des créatures qui l’attirent, qui la fascinent. S’ils pouvaient parler elle voudrait sans doute les rencontrer mais armée de façon à ce qu’ils ne puissent pas la tuer, l’inconscience ne fait pas encore partie de son caractère.
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| | | | Tyler Carlson
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| | Sujet: Re: Velcan Johany Peeters [Serpentard] Jeu 5 Fév - 19:29 | |
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&& le Choixpeau Magique coiffa la tête de la jeune Velcan l'espace d'une seconde à peine. Jeune fille ambitieuse, arriviste et aimant aller jusqu'à l'extrême, ton audace et ta présomption ne peuvent t'amener que dans la noble maison de Salazard.
Bienvenue à toi && Bon jeu.
Famille de cinglés va X)
Mais j'adore ton perso, vraiment <3
Quelques fautes d'inattention ici et là, mais rien de bien grave.
Tu peux d'ores et déjà commencer à poster,
chercher tes liens et tout ce qui concerne ton personnage.
Un administrateur passera prochainement te mettre tes couleurs. | |
| | | | Velcan Peeters
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| | Sujet: Re: Velcan Johany Peeters [Serpentard] Jeu 5 Fév - 23:31 | |
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| | | | | | Velcan Johany Peeters [Serpentard] | |
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